Un piano, un triptyque sur les mémoires :
La mémoire des sens et des émotions qu’elle fait naître avec Empreinte éphémère.
Celle du corps, de ses blessures, de ses bonheurs, avec La mémoire de l’eau.
Et la mémoire qui nous construit, entre souvenirs et imaginaires, pour La nostalgie des lumières…
Avec sa grande puissance sonore, sa dynamique et son équilibre grave/aigu, le Fazioli s’est imposé pour ce voyage entre fragilité et puissance, entre nuances et contrastes.
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